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Imi Ouaddar – entre 2 projets immobiliers de 600 hectares

Posté par Ahmed Laghnet le 3 février 2023
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Imi Ouaddar, sur la route actuelle entre Agadir et la prochaine grande ville côtière Essaouira

Cette RN1 traverse le village partiellement pittoresque et et donne avec ses nouveaux resorts une allure de Marbella 1978.
Imi Ouaddar, vous allez adorer :
Ses plages de sable isolées qui s’étendent jusqu’à l’horizon avec Taghazout au Nord et le Cap Ghir au Sud.
A Imi Ouaddar on vit au rythme de l’océan. La commune est encore assez petite pour qu’on entende les vagues de partout. La criée possède une renommée nationale, on ne mange que poissons et crustacés. On surf cool, sur vagues gentilles, rien à voir avec Anchor Point et Madraba.

L’horizon 2030 de Imi Ouaddar est prévisible à 95%

Au Nord, visons Taghazout, à 12km, qui est en train de devenir l’extension « luxurious ressorts » de Agadir.

Fairmont, Hilton, Tikida, Marriott et le Hyatt avec deux établissements s’y trouvent. Après une décennie de difficultés de démarrage cette zone intégrée devient un succès. L’immobilier est parti rapidement, le très haut de gamme au-delà de 3 millions d’Euro la première.


Au Sud, derrière le rocher au bout de la plage certes longue de plusieurs kilomètres, le village de Aghroude semble dormir. Mais personne ne dort. Le duplicata de Taghazout Bay sera implémenté ici (voir le communiqué officiel de la SMIT), comme à Taghazout sur 600 hectares, l’offre touristique se situant une gamme en dessous. Les quelques maisons construites sur un rocher au milieu de la baie de Aghroude et peintes en couleurs disparaîtrons. La procédure d’indemnisation des personnes expropriés pour la réalisation de la future station balnéaire d’Aghroud a été lancée en 2021. Elle mobilise de 130 MDH.

Expropriations immobilières sur la plage voisine Aghroude

Intéressant à savoir: « La valeur des parcelles foncières a été comptabilisée en se référant à la date d’expropriation, c’est-à-dire en 1976, les intérêts de retard se rajoutant. La commission administrative d’évaluation du foncier pour la fixation des indemnités a déjà établi les tarifs de compensation. Il s’agit de 20 à 50 DH/m² pour les catégories de terrains identifiés pour les parcelles privées, alors que les terrains forestiers et ceux appartenant au domaine privé de l’État et le domaine communal sont respectivement fixés à moins de 5 et 10 DH. Pour les bâtiments inventoriés en 1976, il s’agit d’un prix forfaitaire fixé à 500 DH/m² » (Source: Yassine Saber, Les Ecos).

La nouvelle station s’étendra de de la baie jusqu’au Hinterland Arganier.

Imi Ouaddar: trait d’union entre les deux stations d’envergure internationale


La RN1 traversant Imi Ouaddar, actuellement une nuisance, sera déplacée derrière les premières collines.

Les grands projets entourant Imi Ouaddar,

sa longue façade vers l’océan,

son status quo urbain timide pour l’instant,

son savoir faire de la pêche et de sa commercialisation

font qu’un projet immobilier dans cette commune est hautement spéculatif, Nous avons identifié deux opportunités dans les catégories « terrain titré » et « duplex ». Elles se situent dans une résidence conçue par Abdellatif Loutati.

Pendant votre recherche immobilière à Imi Ouaddar

Vous logerez au Paradis Plage Surf Yoga & Spa Resort, Vous explorerez la vallée paradisiaque voisine avec votre guide privé, où vous pourrez profiter d’un pique-nique dans un cadre magnifique après une courte randonnée. De retour à l’hôtel, vous prenez un cours de yoga dans un pavillon surplombant la mer d’un bleu profond. Ou détendez-vous avec des soins au spa sur place. Bien sûr, vous pouvez aussi adopter une approche plus sportive et vous jeter dans les vagues de l’Atlantique sans ou avec votre planche. Ou vous le jouez cool et vous logez chez l’habitant ou dans votre van.

Impressions du street food à Imi Ouaddar ici >>>>

Imi Ouaddar beach panorama

Développement humain

Les deux projets d’aménagement, Taghazout et Aghroude, veillent au développement humain, surtout dans le Hinterland ou règne l’Arganier.
Cet arbre procure à près de 2,2 millions de personnes dans le Sud-Ouest du Maroc une source de subsistance renouvelable. Son bois sert de combustible et de matériau de construction; feuilles et fruits nourrissent les animaux et l’huile extraite de ses amendons alimente, soigne et guérit les hommes. La production de l’huile est une affaire de femmes , qui se sont organisées en coopératives. Elles transforment une partie en huile cosmétique et en le vendant, tirent des revenus essentiels pour elles et leurs familles.

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